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Maxime Villoing

 

 

 

Quel est ton parcours ?

 

Après une licence en Histoire que j’avais effectué dans le cadre d’une reprise d’études, j’ai préféré suivre une filière professionnalisante en deux ans : le master MAP. Aimant rédiger et fréquentant le monde du journalisme, j’ai été correspondant de Presse durant deux ans dans ma commune. Cette expérience m’a ensuite permis d’entrer comme journaliste culturel aux Presses de Loire, à Orléans. Pour valider mon Master, j’y ai effectué un stage de douze semaines sur le mode de l’alternance où j’ai pu continuer à pratiquer l’interview, le compte-rendu, tout en participant à l’élaboration des deux agendas culturels des Presses de Loire : Le Fest’ivalier et Centr’ifuge.

 

Et après ? (2016)

 

Je désire toujours pratiquer l’écriture mais surtout la rédaction à partir de sujets définis et/ou imposés. Savoir écrire reste un atout dans le monde de la communication ; choisir ses mots, en éliminer d’autres pour donner au final à son texte la consistance et l’orientation désirée, c’est mon credo. Cela fait partie intégrante d’un savoir-faire que j’ai acquis et qu’on m’a encouragé à valoriser au cours de mon master MAP (promo 2013-2015).

 

Les avantages de la formation ?

 

Pour moi c’est la multiplicité des intervenants qui fait la force de la formation. Ce sont parfois d’anciens étudiants du master, désormais intégrés dans la vie active et au parcours brillant. Cela donne un coup de ‘’pep’s’’ et motive quant aux débouchés qu’offrent le master. Néanmoins, des qualités en termes de relations humaines sont indispensables si on veut se constituer un réseau digne de ce nom, à mettre en place dès la première année du master (participation à des campagnes politiques, engagement associatif…).

 

 

 

 

 

 

 

 

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